vendredi 28 décembre 2007

Nous avons un chef de file aux municipales !

Hier, les adhérents de La Madeleine ont tranché. Lors d’une réunion à 18h30 à l’Opus, rue du Dr Legay, un vote a eu lieu. Après avoir entendu la présentation des 2 candidats en lice : Martial Singer & votre serviteur ; Martial SINGER a été désigné chef de file pour conduire Le Mouvement Démocrate à la bataille municipale.

Placé n°3 sur la liste pressentie (parité oblige !), je continuerai à vous donner mes impressions sur la vie du Mouvement Démocrate à La Madeleine et au delà.

Chers amis, il est temps de nous mobiliser pour nous faire connaître et reconnaître.
Vous rencontrer, vous apporter nos solutions à vos problèmes quotidiens, celles que François Bayrou a défendues lors des élections présidentielles, qui sont et demeurent plus que jamais dans l’actualité d’aujourd’hui ; vos problèmes de société, de pouvoir d’achat, de logement, de fiscalité, l’attrait de notre cité pour les forces vives de l’économie, de la technologie au quotidien, du développement durable (énergie, eau, pollution, déchets) etc.
Nous serons présents pour vous écouter et vous participerez à l’élaboration de notre projet.
Adhérer à une équipe qui vous proposera un colis-programme tout ficelé et emballé, ou telle autre qui ne reprend que des thèmes revendicatifs nationaux ne sont pas dans les habitudes du Mouvement Démocrate. Nous faisons de la politique autrement et il faut que cela se voit, notamment à La Madeleine.

Laissons passer la trêve des confiseurs avant de nous présenter à vous.

En attendant, pour 2008, je vous présente mes meilleurs vœux de santé et de bonheur, pour vous et les vôtres.

Jacques DESCAMPS

mardi 25 décembre 2007

Joyeux Noël


Madeleinoises, Madeleinois,
Non, le Père Noël ne vous a pas oublié !
Non, Le Mouvement démocrate ne vous a pas oublié !
La Madeleine est une jolie ville endormie qu’il faut réveiller.
Notre message de Noël sera celui-là :
" des élections qui ne soient pas un combat mais la recherche du bonheur de chaque citoyen dans son champ de référence municipal, Laïcité, Universalisme, Tolérance, Humanisme, Solidarité "
Nous ne regardons pas les erreurs des autres ou leurs carences, nous ne voulons voir que notre foi à agir ensemble.
Joyeux Noël à toutes et à tous.
Patrick Cocheteux & Jacques Descamps

mardi 18 décembre 2007

Soutien démocrate entre sections (antennes locales)

Mardi 18 décembre a eu lieu à Villeneuve d’Ascq la réunion des militants de la 7ème circonscription.
A cette occasion, Patrick COCHETEUX et Alain DUCHESNE étaient venus apporter leur soutien à Régis HERMANN qui se bat maintenant depuis plusieurs mois pour que vive l’antenne Mouvement Démocrate sur le terrain.
Aux militants impatients de commencer une action dont le premier terme sera les élections municipales de mars 2008, Patrick COCHETEUX a pu expliquer comment faire le " coup d’état permanent " dans le parti selon sa propre expression. Devant une fédération dont l’organigramme reste encore à construire et en attendant des mots d’ordre d’en haut qui tardent à venir, il a pu indiquer la chance formidable que représente le MoDem pour des militants actifs, soucieux de s’investir. " Quand tout est à faire et à réfléchir, quand tout est à mettre en œuvre avec des compagnons motivés, réjouissons nous d’avoir du travail. L’esprit créatif des démocrates s’épanouira mieux avec les contraintes dont nous déciderons nous mêmes ".
Alain DUCHESNE, maire de la commune de Tourmignies, a acquiescé à ce message tout en relatant sa propre expérience de militant qui s’exprime dans le MoDem mais qui ne demande pas tout à la Fédération. Comme hommes libres dans une démocratie vivante, il a créé puis développé l’antenne locale jusqu’à multiplier par vingt le nombre de militants sur le terrain.
Jacques DESCAMPS, pris par ses engagements à La Madeleine, est venu en fin de soirée appuyer également le message aux militants en dévoilant quelques petits secrets de campagne
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dimanche 16 décembre 2007

Création d'une antenne locale du Mouvement Démocrate à La Madeleine : Prolégomènes à la création d'une section.

Comment animer une section locale de manière efficace afin qu'on ne perde pas son temps, aussi bien en période électorale que hors période trouble ?


Il s’agit du comment animer une section locale de façon efficace en période électorale ou non.
Cela renvoie à la vaste question :
Communication politique et animation locale par un groupe partisan.
Et à un certain nombre de sous questions :


  • Qu’est ce que la communication politique par un groupe constitué ? Pour une section, la communication politique doit s’exprimer d’abord par le compte rendu de réunion. Pas le procès verbal ni les interventions résumées mais les idées en concert les unes avec les autres.
    La production d’écrits après contacts avec les différents acteurs du paysage social est également nécessaire. La rencontre avec les gens de terrain, habitants, producteurs et consommateurs de services publics permet l’ouverture au monde réel.

  • La sociologie du local et le gouvernement de la ville sont ils connus du groupe ? Une section a un périmètre d’action lié à sa géographie. Terre de travail traditionnel, zone de services aux entreprises, bassin d’équipements spécifiques, etc
    Comprendre l’histoire politique d’une zone à partir de sa géographie économique et politique fait partie du travail ordinaire du militant employé comme volontaire à l’étude et au travail.

  • La communication et la démocratie au sein du groupe et avec la population locale ? La communication politique au sein de la section respecte les mêmes règles que la communication politique en dehors de celle-ci. Il est important que les opinions de tous soient respectées, qu’il y ait des élections, que l’élitisme d’une minorité ne confère pas le pouvoir, que le programme politique ne soit pas livré clés en mains pour du consumérisme politique.

  • La communication politique : un peu de théories n’est il pas nécessaire aux pratiques ? A ce titre, depuis les travaux de pierre Bourdieu, on peut s’autoriser à penser que l’opinion publique n’existe pas en tant qu’agrégation d’opinions diverses à un moment donné.
    A ce titre également, on sait que les représentations sociales sont importantes pour mener un combat politique et donc la dialectique qui consiste à commenter les évènements par une grille symbolique élaborée constitue un devoir de la section politique de base comme du militant de base. La fabrication d’argumentaires sur les grandes questions est un travail ingrat mais nécessaire.

Il n’est pas possible ici de traiter l’ensemble de ces problèmes, donc essayons d’en choisir un ; de toute façon, dès que l’on tire sur un élément, comme dans un écheveau, tout vient avec.


Qu’est ce qu’une section politique ?


Une section est une rencontre d’hommes et de femmes pensant avoir les mêmes idées et s’imaginant qu’elles méritent d’être partagées par d’autres toujours plus nombreux.
A ce titre, lorsqu’un parti de notables ou de cadres devient un parti de masse, la définition de la section a tendance à changer. De groupe pratiquant le mode intuitu personae dans son recrutement, il devient ouvert avec des signes de reconnaissance qui changent. Ce n’est plus l’appartenance à la franc maçonnerie, à certains corporatismes ou au Rotary Club qui constitue le moyen du recrutement mais la reconnaissance de la valeur des idées. On passe de l’appartenance à certains milieux d’élection vers l’appartenance à un groupe de motivations reconnues.


Une section se dote d’objectifs. Pour qu’un groupe travaille efficacement, il a besoin d’objectifs :


  • Disposer d’un espace de discussion informel, permettant d’aborder tous les sujets essentiels au regard de la politique nationale ou communale.

  • Développer une vision et une approche collectives des enjeux de la politique internationale, nationale et régionale

  • Constituer un pool de lobbying et de conseil auprès des décideurs locaux et se faire connaître de la population.


Une section s’organise ensuite :


  • avec un fonctionnement informel mais qui bénéficie d’une reconnaissance formelle par les autorités fédérales et d’une reconnaissance du travail de chacun par les autres membres du groupe ;

  • en amont, pour élaborer des dossiers de très bonne qualité en valorisant et en exploitant l’information, les analyses et les propositions issues d’un vaste réseau de compétences ;

  • en aval, de valoriser ses analyses et ses propositions en irriguant les différents cercles de décision.


Les révolutionnaires de 89 se réunissaient beaucoup et parlaient beaucoup. Ces deux éléments sont toujours nécessaires au sein de chaque section.


Les révolutionnaires de 89 agissaient aussi beaucoup. Qu’on en juge à l’immense travail juridique qui a été accompli et à la révolution culturelle qui est née. Nos sections d’aujourd’hui palabrent beaucoup mais agissent peu, c’est le reproche que je leur ferai.


Les révolutionnaires de Bayrou ont transformé la politique mais sauront ils aller plus loin ? Pour cela il faut absolument que, si les mots n’existaient pas, la politique fasse communiquer les âmes entre elles.

Patrick Cocheteux & Jacques Descamps

samedi 8 décembre 2007

La Madeleine (59110)

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Cela ne pourrait-il pas faire un bon programme électoral?

lundi 3 décembre 2007

Eh bien moi, j’ai aimé !

Oui, j’ai aimé le Congrès démocrate. J’ai aimé François Bayrou donnant une définition de la démocratie où je suis responsable et pleinement sujet de Droit. J’ai aimé aussi que l’Etat soit remis à sa place et je souhaite que le Président ne galvaude pas sa fonction en se mêlant de tout. De minimis non curat praetor disaient les Anciens. J’ai aimé que les forces démocrates soient désignées porteuses d’un projet social, écologique et économique. Politique donc. Les démocrates apparaissent ainsi comme les seuls porteurs d’une vision compréhensive du monde face aux modèles dépassés des socialistes et des conservateurs-admirateurs du Président. Trouver un autre projet de société dans la mondialisation où les inégalités progressent est enfin un but noble, à la hauteur des idéaux humanistes. Et croire dans l’Europe politique, en débattre aussi pour des valeurs résistantes à la globalisation, n’est ce pas porteur ?
Pendant le Congrès, " le Monde " notamment, attaquait violemment le Mouvement Démocrate. FB serait seul dans un parti fait sur mesure pour lui. C’est vrai que FB a fait le MoDem et je ne vois pas là matière à critique. Y a-t-il tant de nouveaux partis qui se sont créés ces temps ci ? Bien sûr, il y a le Nouveau Centre qui n’est ni nouveau, ni au centre ; bien sûr, il y a la Nouvelle Gauche qui n’est ni nouvelle ni à gauche. Ces deux partis de déserteurs créés par l’argent du pouvoir en place ne sont que de pâles rassemblements de quelques flagorneurs qui ne représentent qu’eux mêmes. Comment oser les comparer à un parti de 60 000 adhérents, né dans l’enthousiasme des élections présidentielles et dirigé par un homme qui a une vision de la France ?
Les élections municipales proches fourniront l’occasion de montrer à nouveau la force démocrate. La prise en compte de cette sensibilité nouvelle marquera l’apparition de visages nouveaux et soucieux des attentes des citoyens. Pluralisme et pragmatisme en somme.

Patrick Cocheteux & Jacques Descamps

Actualités en temps réel - Forums en direct avec Julien Fretel

Actualités en temps réel - Forums en direct avec Julien Fretel

dimanche 25 novembre 2007

Schéma de l'Organisation fédérale

Après le Congrès national se posera rapidement la question de l’organisation fédérale.
Sachant que le provisoire a tendance à s’affirmer comme définitif, il convient d’être prudent. L’effervescence née des lendemains de Congrès ne doit pas aboutir à un Conseil fédéral provisoire élargi dont les attributions seraient amoindries par rapport aux espérances des militants.


Plusieurs questions sur ce plan méritent un examen: L’organisation doit-elle être départementale ou régionale ? doit-elle s’appuyer sur la tradition des circonscriptions et des cantons ? doit-elle être purement administrative ou devenir économique ? quelle est la place de l’élection par rapport aux nominations ?
Dans le schéma qui suit, nous posons délibérément l’hypothèse d’une organisation orientée vers plus de pouvoirs à l’adhérent de base dans son milieu de vie économique.
En face de l’adhérent, reconnu indispensable, une force de centralisation conduit le Mouvement démocrate.
L’originalité tient à la balance des pouvoirs ascendants et descendants, exprimant tous les deux la démocratie majoritaire.

Les élections et le pouvoir ascendant. La circonscription ou le canton peuvent bien entendu être substitués aux bassins de vie et d’emploi tels que l’entend l’INSEE.
Néanmoins, le bassin de vie est bien plus pertinent que la circonscription administrative car les hommes et les femmes qui y vivent y ont les mêmes intérêts de progrès, de développement écologique, d’équipements scolaires ou sociaux, d’aménagement du territoire, etc.
Le Conseil fédéral regroupe tous les adhérents des différents bassins du département représentés par cent cinquante membres environ. Il se réunit régulièrement après une élection qui a lieu tous les trois ans.
Le renouvellement se fait par tiers. Le Conseil fédéral oriente la politique du département et se prononce sur les investitures aux élections cantonales, municipales, législatives et régionales en fonction des propositions faites par les sections.
Enfin, le Conseil fédéral élit en son sein les membres du bureau exécutif. Celui-ci comporte une dizaine de membres, jusqu’à quinze dans les grands départements. Le secrétaire fédéral est élu au suffrage universel direct par les adhérents.
Le secrétaire fédéral est l'animateur politique de la fédération et son porte-parole. Il assure la liaison avec le Président régional et les instances nationales. Il préside les réunions de secrétariat fédéral, du Bureau Exécutif Fédéral et du Conseil Fédéral, devant lequel il rend compte de ses activités.
Le Secrétaire fédéral assiste de droit aux réunions du Conseil national.

Les nominations et le pouvoir descendant. Le Président du Mouvement Démocrate au niveau national élu à l’issue du Congrès nomme les Présidents régionaux parmi les membres des conseils fédéraux réunissant les départements de la Région.
Le Président choisit parmi les collèges fédéraux les membres de la Commission des Finances et de la Commission éthique ainsi que les Secrétaires thématiques.
Ceux-ci sont chargés, après écoute sur place, de mettre en place des programmes de réflexion sur les grands thèmes économiques, sociaux et politiques de la région. Le niveau régional est ici préféré au niveau départemental en fonction de son adéquation avec les programmes européens qui raisonnent avec les mêmes entités territoriales.
Les Commissions ont un pouvoir de contrôle et d’auto saisine sur les différents problèmes qu’elles désirent évoquer.
Elles peuvent également être saisies par un adhérent ou n’importe quel organe du Mouvement en tant que tel.
Les Secrétaires thématiques, dont le nombre est laissé à l’appréciation du Président sans qu’il puisse excéder quinze, n’ont pas de pouvoir coercitif propre. Ils relaient l’information, favorisent les rapprochements d’idées et de personnes physiques ou morales, privées ou publiques et se présentent comme des éléments fédérateurs et lanceurs d’idées sur le terrain .

Bien entendu, tout cela mérite d’être approfondi et je fais confiance aux uns et aux autres pour apporter à ce projet toutes les observations qu’il mérite.
Patrick Cocheteux.

samedi 24 novembre 2007

L'Entrisme au MoDem

Le Mouvement Démocrate fait de l’entrisme.
Alors que quelques mois nous séparent encore de l’élection municipale, le problème des alliances envahit déjà le terrain politique. Dans un département du Nord fortement marqué à gauche, il est raisonnable de penser que les alliances du MoDem se feront essentiellement avec la Gauche. Certaines listes n’auront pas besoin de cette alliance, comme Saint André ou Faches Thumesnil mais d’autres en auront cruellement besoin. Et Lille notamment. Quelques alliances avec la Droite aussi, là où elle aura le plus de chance de gagner bien sûr : La Madeleine par exemple.
Pourquoi faire de l’entrisme ? Que ce soit avec la Gauche ou avec la Droite, le Mouvement Démocrate veut entrer dans les exécutifs locaux, d’abord pour exister et à terme pour étouffer les partis en place. Une stratégie de marquage, dirait-on au foot et puis, débordement. Les listes sortantes ne sont pas en reste : il est évident que l’ouverture au MoDem leur profite pour mieux le réduire. La stratégie de l’entrisme a donc autant de chances de succès que d’échec.
L’alternative à l’entrisme est la solitude. En effet, sauf à exister encore en seconde place après le premier tour, l’absence d’alliance se traduirait par la présence de quelques conseillers sans grand pouvoir. En d’autres termes, vaut-il mieux s’allier pour exercer une once de pouvoir et perdre de sa candeur originelle ou ne pas s’allier, perdre l’élection et se draper dans son originalité politique ? Car, on ne le dit pas assez, le MoDem n’est pas constitué des anciens de l’UDF mais à 95% de nouveaux en politique. Chantages, atermoiements, renvois d’ascenseur, mauvaise foi des arguments avancés, attaques personnelles sont autant de pratiques qu’ils réprouvent mais auront ils le choix face à une stratégie globale du Mouvement qui porte vers l’alliance ? Le but ultime est en effet 2012 et donc assurer peu à peu une base électorale forte à François Bayrou.
Alors, restent les indécis qui ne se résolvent pas à une alliance avec la Gauche ou avec la Droite traditionnelle. Les uns ou les autres détestent le socialisme ou le libéralisme et les compromis sont littéralement pour eux des compromissions. Ils quitteront certainement le Mouvement avant même les élections municipales. Reste à savoir combien de désappointés iront grandir le parti des déçus de la politique, renforcés dans leur conclusion que " plus cela change et plus c’est pareil " ?
Les risques. L’espoir de l’entrisme du MoDem est de circonvenir au sein du Conseil Municipal la puissance de la Gauche dans le but d’infléchir la politique de la Ville. Celle-ci est souvent orientée " Ecologiste " sous l’emprise ancienne des Verts souvent ralliés maintenant au MoDem lui-même. M. AUBRY risque donc de se débarrasser des Verts en accueillant le MoDem et donc finira jusqu’à les retrouver ! Mais sous une forme moins autoritaire ou exigeante sans doute. Paradoxe de la politique.
Un autre paradoxe mérite d’être signalé. Le MoDem lui-même accueille beaucoup de dépités du socialisme tels qu’ils le concevaient. Les partisans de Dominique Strauss-Kahn n’ont plus de raison d’être au parti socialiste puisque leur leader est au FMI et que leurs idées ne deviennent pas l’expression du groupe socialiste. Alors, comment se jouera cette farce éternelle de l’arroseur arrosé ?
Un autre risque de l’entrisme est que les adhérents du MoDem finissent par être eux mêmes convaincus de la justesse des thèses socialistes. Il n’est pas rare que l’on entre dans une Organisation avec ses propres idées et qu’on y reste avec celles des autres. Edwy Plenel
affirme que Lionel Jospin aurait été infiltré de l'OCI au PS mais aurait peu à peu renoncé à ses idéaux de jeunesse en adhérant vraiment au PS. Il est indéniable que les adhérents du Mouvement Démocrate sont sensibles aux thèmes sociaux et rien, a priori, ne les distingue des socialistes sur ce terrain. Dans le Nord, la Droite elle même a souvent eu un discours paternaliste et social dont le Centre d’André Diligent était encore le champion il y a peu.
Sur le moyen terme, l’entrisme aura des conséquences sur le fonctionnent du parti démocrate car il est évident que les adhérents voudront un Mouvement toujours plus démocratique dans son fonctionnement et ses structures. Autrement dit, la bataille récente que le MoDem a vécu entre les anciens et les modernes n’est pas terminée. Elle devrait renaître à l’initiative des uns ou des autres suivant le succès ou l’échec de la stratégie de terrain.
Moyen de choix pour les stratèges du MoDem, l’entrisme risque de devenir le sujet de confrontation entre le pouvoir et ses contradicteurs. Pour les instances actuellement dominantes de Gauche, le procès idéologique ne tardera pas à s’ouvrir sur le terrain politique
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Patrick Cocheteux

mardi 20 novembre 2007

Invitation

Madeleinoises et Madeleinois, il serait souhaitable que nous nous rencontrions :

pour apprendre à nous connaître,
pour collecter ensemble les avis de nos concitoyens,
pour définir ensemble les actions prioritaires au développement de notre ville,
pour combattre ensemble un certain immobilisme ambiant,
pour redonner ensemble la Vie à cette belle endormie,

Que la fête commence !

Répondez à ce message avec vos coordonnées, nous vous inviterons à notre très prochaine réunion.

Le Mouvement Démocrate c’est quoi ?
" Laïcité, Universalisme, Tolérance, Humanisme, Solidarité "

Cela vous tente ? Vous êtes les bienvenus !

lundi 19 novembre 2007

Le commerce à La Madeleine? pas folichon?


Aujourd’hui, j’ai recueilli pas mal d’informations sur notre ville et je me suis aperçu, que sous un calme apparent, une certaine sérénité de vie, le tissu commercial, tel qu’il existe aujourd’hui, ne convenait pas exactement à ce que nous souhaiterions.
Pas de véritable Centre, pas cette chaleur de convivialité qu’on pourrait en attendre.
La proximité de Lille est certes un facteur incontournable, mais il faudrait détourner cet attrait extérieur par une meilleure concentration et diversité commerciale. Nous en avons la potentialité !
Qu’en pensez-vous ?
Apportez-moi vos suggestions !
Le lieu est tout trouvé.

dimanche 18 novembre 2007

Bonjour

Jacques DESCAMPS
La Madeleine 59110
Adhérent Mouvement Démocrate

Afin de recenser, ce que vous, Madeleinois, souhaitez voir changer dans votre ville, écrivez-moi pour exprimer un souhait, émettre une opinion, critiquer ce qui vous dérange, etc…
Je vous répondrai.
Soyez gentils, il ne s’agit pas de montrer un responsable, mais seulement de constater ce que vous souhaiteriez trouver et qui n’y est pas, ou de dénoncer ce qui existe et qui ne devrait pas.
Au fil du temps, les réponses arriveront………………………………
Je n’en dis pas plus aujourd’hui.
A vos plumes informatiques.


Jacques DESCAMPS